Le sens du patrimoine religieux
Il nous appartient de faire vivre les églises communales légalement affectées au culte catholique selon leur destination première. Messes, baptêmes, mariages et sépultures, liturgie des heures, doivent être célébrés à l'église autant que possible. Que les fidèles s'y réunissent, tout spécialement le dimanche, pour célébrer la résurrection du Seigneur.
Mais nous devons mettre ce patrimoine à la disposition de tous. Nous devons ouvrir nos églises, en assurer l'entretien, les rendre accueillantes, donner toutes les informations utiles, préserver le silence et la paix qui favorisent le recueillement et la prière. Il faut permettre au passant, au visiteur, au pèlerin, quelle que soit sa quête, de se laisser saisir par la beauté du lieu, et d'accéder au message qui lui donne sens. Beaucoup de nos contemporains sont sensibles à la culture. Nous devons être présents pour engager le dialogue avec eux. (...)
Cependant, il ne suffit pas d'entretenir ce patrimoine religieux, d'accompagner avec bienveillance et de réceptionner des travaux de rénovation. Il faut encore risquer une proposition, offrir ce patrimoine à la visite, avec le sens que lui donnent les croyants d'hier et d'aujourd'hui. Il s'agit en somme de le présenter comme un lieu habité, comme un lieu vivant ; comme un lieu de prière où, effectivement, il y a des croyants qui se rassemblent pour prier et célébrer la liturgie de l'Eglise, où il y a des fidèles qui font mémoire de la mort du Christ, qui proclament sa résurrection et qui espèrent son retour glorieux.
extrait de la Lettre pastorale "Un peuple en marche", 1° novembre 2014.
+ François KALIST, à l'époque Evêque de Limoges
(maintenant Archevêque de Clermont Ferrand)
(Photo : église de La Rochette)
L'EGLISE
Dans le ciel, s'élève un clocher,
Présence visible de Dieu.
On ne peut pas abandonner,
Tant de travail, sueurs et vies,
Offerts par tous les villageois.
On ne peut oublier les joies,
Non plus que tous les temps de peines,
Vécus aux moments des adieux.
Toute cette mémoire humaine,
Nous devons en avoir souci.
Ce lieu de rencontre avec Dieu,
Où notre peuple se rassemble,
Lieu de Parole et de partage,
Les cloches et les chants y résonnent.
Et, si quelquefois, il nous semble,
Revoir un lieu abandonné,
Il reste alors quelques personnes,
Qui ont à coeur de le garder,
Vivant, ouvert pour le voyage,
Un endroit calme et silencieux.
Nos églises sont lieux de vie.
Sont mémoires des vies anciennes,
Des témoins des vies d'aujourd'hui.
Elles montrent la joie de l'enfance,
Des êtres y déposent leurs peines.
Rappellent la vie de Jésus,
Sur notre terre, il est venu,
Porteur de la nouvelle alliance,
Où Dieu nous offre son Amour.
L'église est ce lieu pour toujours.
E.G.
Les orgues de nos églises
« Il y a deux choses dans un édifice : son usage et sa beauté. Son usage appartient au propriétaire, sa beauté à tout le monde ; à vous, à moi, à nous. » Victor Hugo, « Guerre aux démolisseurs », dans la "Revue des Deux Mondes", 1832. Cette revue existe encore aujourd'hui !
Le patrimoine de mon église, quel témoignage de foi aujourd’hui ?
La première œuvre d’art sacré, c’est la Création ! Dieu l’accomplit en plusieurs jours et voit que cela est bon, et même beau dans certaines traductions. L’accueil dans les églises et le patrimoine religieux permettent de faire cette expérience de la beauté. Une expérience humaine fondamentale, dans laquelle chacun peut découvrir sa propre beauté devant Dieu. Il y a les pratiquants réguliers et les visiteurs, mais aussi ceux qui viennent simplement poser un acte de dévotion et ceux qui, sans forcément partager la foi chrétienne, viennent chercher un lieu de paix suite à une épreuve. Il est important que chacun trouve sa nourriture. Je rencontre souvent des personnes qui n’avaient pas la moindre idée de venir discuter avec un prêtre ! À nous de nous rendre disponibles et de rendre parlant ce patrimoine : l’architecture, les vitraux, la statuaire, le mobilier liturgique, etc., n’ont pas d’autre raison d’être que de traduire la foi. Il s’agit d’expliquer les symboles ou plutôt de les interpréter à la manière d’un musicien fidèle à sa partition : en faisant mémoire, de façon habitée et vivante. Dernier point d’attention : la disposition des lieux, les documents vus en premier, tout doit concourir à se tourner vers le Christ et à annoncer sa Bonne Nouvelle. “L’Église ne doit pas s’annoncer elle-même, son denier, ses chantiers, etc., mais annoncer le Christ ” ! Texte élaboré à partir d'une interview du P. Paul Destable, recteur de la basilique Saint-Amable de Riom et du sanctuaire Saint-Bénilde à Saugues, publiée le 19.06.2024 sur le site de la Conférence des Evêques de France
DES CROIX EN CREUSE
Certaines de travers,
Sur leur socle de pierre,
D'autres s'élèvent fières,
Vers le ciel qu'on implore.
Tant de mains ont sculpté,
Tant de mains ont prié,
Ce Dieu que l'on ignore.
Les villages ont leurs croix,
Des témoins de leur foi.
Ces oeuvres sont trésors,
Aux sentiers de l'aurore.
E.G.
Photo ci-dessus : Croix, chapelle N.D. de Borne, St Michel de Veisse - Cliquez sur l'image pour l'agrandir.
Le granit :matériau régional
texte de Marguerite-Marie IPPOLITO, dans son livre "Bernard de Ventadour" p.8, éditions L'Harmattan
Parmi les étoiles du ciel,
Luit la Victoire de l'Agneau.
C'est le matin du troisième jour,
Un nouveau monde est éclairé :
Jésus-Christ est ressuscité !
Il a donné tout son amour,
Il s'est donné comme un agneau.
A son Père est resté fidèle.
Par la croix, pour l'éternité,
Dieu renverse l'adversité,
Il donne au monde la beauté,
Aux hommes, Il rend la liberté.
E.G.
Toujours des croix en Creuse...
Cette vidéo sur Youtube nous présente quelques croix remarquables du sud-est de la Creuse, classées ou inscrites au titre de "Monument Historique" :
- à Gentioux, la croix devant la chapelle St Antoine de Villemoneix,
- à Clairavaux, la "Croix Grande" (ou "Croix percée")
- à Malleret, la croix du cimetière.
Pour démarrer la vidéo : cliquez sur le triangle blanc au milieu de l'image, et n'oubliez pas de régler le son pour entendre les explications et commentaires.
Cette vidéo est sur le site du Conseil Départemental, page Culture et patrimoine > Unité Patrimoine et Paysages > Vidéos > Un trésor dans mon département.
... des goûts et des couleurs ...
Une couleur de vie
Les portes d'églises tout de rouge vêtues
Appellent le regard, les voilà magnifiques
Et au jour d’aujourd’hui prennent couleur biblique.
C’est le sang apposé par un peuple choisi
Protégeant les maisons d’un fléau du passé.
C'est la libération, la Mer Rouge passée.
C’est le sang de Jésus sacrifié sur la croix
Il a donné sa vie pour les peuples entiers,
Montrant la sainteté par la Résurrection,
À tout le genre humain une voie d’espérance.
C'est le feu de l’Esprit, l’Amour avec passion
Pour une humanité malgré l’indifférence.
C’est le sang des martyrs qui ont donné leur vie
Ne voulant pas céder en proclamant leur foi.
Aujourd’hui encore, certains donnent leur vie
L’Evangile porté pour Dieu en qui ils croient.
Et malgré les souffrances elle est couleur de joie,
J’y vois mon cœur qui bat d’une nouvelle vie
J’ouvre les portes en grand pour recevoir Jésus. EG
Photo ci-dessus : l'église de St Pierre le Bost, dont la porte a été peinte d'un rouge assez vif, qui contraste heureusement avec le gris plus terne des pierres et des enduits... et qui s'assortit avec le vert tendre des pelouses et le bleu du ciel... Des goûts et des couleurs, certains aimeront beaucoup, d'autres un peu moins...
Voir plus de photos de cette église (intérieur et extérieur)
Encore une porte rouge, qui a fait couler localement beaucoup d'encre et de salive ! Reconnaissons que le mariage de cette porte rouge avec le portail métalli-que gris peut surprendre !...
Photo : Chapelle Notre-Dame à Bellegarde-en-Marche. Cliquer sur l'image pour l'agrandir.
Bénitier - Eglise St Médard, commune de St Médard La Rochette
Le bénitier
Très souvent, il est délaissé,
Inaperçu, le bénitier.
Entrant, certains plongent leurs doigts,
Dans l'eau offerte à ceux qui sèment,
Puis tracent le signe de croix,
Rappelant ainsi leur baptême.
Signe qui traverse les temps,
Un geste simple et vivifiant,
Pour entrer dans la vie du Christ.
E.G.
Ouverture, entretien courant, et fleurissement de nos églises
Cette activité, réalisée dans la discrétion, est un service d’Église indispensable, qui participe à l’accueil des visiteurs et à la beauté des cérémonies religieuses.
Elle reflète aussi la vitalité de la communauté locale, autour de chaque clocher, et le souci de l'accueil du simple passant dans les meilleures conditions, ce qu'on pourrait appeler "l'hospitalité spirituelle". Combien d'incroyants ont été convertis, littéralement retournés comme une crêpe, en entrant dans une église, saisis par la présence divine...
Si vous pouvez donner un peu de votre temps pour ce service, faites-vous connaître auprès de l'équipe locale, ou à défaut au secrétariat commun des trois paroisses (coordonnées tout en bas de cette page).
Notre Dame de Paris
Comme tout édifice, la cathédrale comprend une pierre angulaire qui porte l’ensemble du bâtiment. Cette pierre angulaire, c’est le Christ. Si nous retirions cette pierre, cette cathédrale s’effondrerait. Elle serait une coquille vide, un écrin sans bijou, un squelette sans vie, un corps sans âme.
La cathédrale est le fruit du génie humain, c’est le chef-d’œuvre de l’homme.
La personne humaine est le fruit du génie divin, c’est le chef-d’œuvre de Dieu.
Quand les deux se rejoignent en la personne de Jésus Christ, vrai Dieu et vrai homme, s’accomplit alors véritablement l’Alliance entre le transcendant et l’immanent (Ciel et Terre). C’est ici et maintenant, dans cette cathédrale, à chacune de nos eucharisties célébrées, que se réalise cette Alliance, quand la chair du Christ, partagée par tous, nous ouvre à la vie éternelle.
C’est peu de dire que nous sommes heureux de célébrer cette messe pour rendre à Dieu ce qui est à Dieu et à l’homme sa vocation sublime.
Notre Dame de Paris
Notre Dame a brûlé,
Sur les bords de la Seine ;
Sa flèche, une œuvre humaine,
Par le travail dressée,
Les flammes ont embrasée.
Symbole d’éternité,
Parti dans la fumée,
République au fronton,
Révèle l’émotion,
Du peuple bouleversé.
Alors le monde entier,
Fait écho à sa peine.
Sur les bords de la Seine,
Notre Dame a brûlé.
De partout, défenseurs,
De Paris, pris au cœur,
Se rassemblent et s’unissent,
Où l’avenir se tisse,
Loin des flammes et des haines.
Sur les bords de la Seine,
Notre Dame renaîtra.
EG
Eglises reconstruites au XIX° siècle
Après la Révolution et l'Empire, périodes où il y a d'autres priorités nettement plus urgentes que l'entretien des lieux de culte, on s'aperçoit - oh quelle surprise ! - que les bâtiments d'église sont souvent en bien triste état... De plus, la population augmente fortement et certaines églises deviennent trop petites ; on observe en effet un pic démographique au XIX° siècle dans de nombreuses communes rurales de Creuse (puis l'émigration définitive des maçons et de leurs familles, et l'exode rural, entraîneront un reflux du nombre d'habitants... mais ceci est une autre histoire).
Toujours est-il que beaucoup de communes se lancent à cette époque dans des travaux de rénovation de leur église, voire dans leur agrandissement par ajout de travées à la nef ou de chapelles latérales, ou encore en construisant une "tribune" (aujourd'hui nous dirions une mezzanine). Quelques municipalités franchiront même le pas de la construction d'une nouvelle église, en particulier lorsque la remise en état de l'ancienne église apparaît trop complexe (ou carrément impossible) pour des raisons techniques. Les vrais experts du bâtiment et des travaux publics ne manquent pas en Creuse !... et dans certains cas ils pousseront à la roue pour faire du neuf, du grand, du beau ! On en profitera parfois pour reconstruire l'église à un endroit différent, mieux placé par rapport au centre du bourg ; mais ce "déménagement" de l'église soulèvera aussitôt le problème du déménagement simultané du cimetière, presque toujours situé autour ou à côté de l'ancienne église, où les paroissiens allaient fidèlement rendre visite à leurs ancêtres, avant ou après chaque messe... Il est vrai que le rapport à la mort était bien différent de ce qu'il est devenu aujourd'hui...
La construction d'une nouvelle église n'empêche pas de récupérer et de réutiliser des éléments de l'ancienne église : statues, mobilier, cloches, corniches, chapiteaux, bénitier, pierres de taille, vitraux, dalles, etc... attestant ainsi de la continuité - on pourrait même dire de la filiation - entre l'ancien et le nouvel édifice, et limitant toute querelle entre les "anciens" et les "modernes".
Un petit mot sur l'aspect financier de la question : d'une manière générale, à la fin de l'Empire (1815, défaite de Waterloo), les communes de l'Est creusois ne sont pas bien riches ; de plus, la plupart des municipalités font passer en première priorité le rachat du presbytère (vendu comme bien national pendant la Révolution) ; ceci explique pourquoi le mouvement de reconstruction des églises ne démarre vraiment que vers 1840, vingt-cinq ans après la Restauration, vingt-cinq ans pour commencer à reconstituer une capacité financière suffisante. Si cette situation s'était produite de nos jours, chaque commune aurait eu recours (après appel d'offres européen) à un cabinet d'experts-conseils, lequel aurait évidemment recommandé, tableaux Excel à l'appui, de construire rapidement un bâtiment économique, genre hangar agricole, pour un prix dix fois inférieur à celui d'une église néo-romane ou néo-gothique en pierre de taille... et bien plus facile à isoler pour limiter le budget du chauffage ; garanti dix ans (c'est la garantie décennale) mais pas beaucoup plus... Au XIX° siècle, ce genre de raisonnement, basé sur la rentabilité et les ratios de productivité du capital, n'était même pas imaginable !... heureusement, d'ailleurs...
Voici la liste (classée par ordre alphabétique de commune actuelle) des églises (re)construites pendant le siècle qui s'étend de 1815 (fin de l'Empire) à 1914 (début de la 1° guerre mondiale), après quoi ce mouvement de construction neuve s'arrêtera complètement dans l'Est creusois :
Commune actuelle | Eglise | Reconstruction au même endroit | Date |
---|---|---|---|
Budelière | Eglise St Martial du Châtelet | non | 1842 |
Crocq | Eglise St Eloi | non | 1846-1848 |
Fontanières | Eglise Notre Dame de la Route | oui | 1874-1876 |
Gouzon | Eglise St Pierre de Gouzougnat | oui | 1903 |
Lavaveix les Mines | Eglise St Joseph | première construction | 1876 |
Lussat | Eglise St Martin | non | 1866-1868 |
Le Mas d'Artige | Eglise St Pierre et St Paul | oui | 1892-1893 |
La Mazière aux Bons Hommes | Eglise St Jean-Baptiste | non | 1867-1868 |
Reterre | Eglise St Martin | non | 1912-1914 |
Sannat | Eglise St Martin | oui | 1896-1897 |
Sermur | Eglise St Hilaire et St Roch | oui | 1900-1902 |
St Sulpice les Champs | Eglise St Sulpice | oui | 1853-1854 |
Tardes | Eglise St Pierre | non | 1861-1862 |
Trois Fonds | Eglise St Sulpice | non | 1885-1887 |
La Villetelle | Eglise St Laurent | non | 1858-1860 |
Pour les passionnés de clochers et de bâtiments religieux
Eglise de St Martial le Mont - Cliquez sur l'image pour l'agrandir =>
Voici quelques sites Internet qui peuvent vous intéresser :
- Le portail de l'architecture chrétienne
- Le site des belles églises
- Les églises françaises à clocher-mur
- Des photos de tous les clochers de la Creuse (sauf quelques rares exceptions)
- Le forum des passionnés de clochers de France
- Art et architecture romane
- OPR - Observatoire du Patrimoine Religieux
- Liste des monuments historiques de la Creuse
- Des photos de nombreuses communes de la Creuse, et en particulier de leurs églises
- La page "Patrimoine et paysages" du site du Conseil Départemental, et en particulier les vidéos sur le thème "Un trésor dans mon département".
- L'association "Archéologie en Limousin".
- Le site Croix en Creuse.
- La Fondation du patrimoine et les projets qu'elle soutient financièrement dans le département de la Creuse. Nous recommandons plus particulièrement à nos lecteurs internautes les projets des églises de Banize, Chambon sur Voueize, Evaux les Bains, Lupersat, Roches, et St Bard. Merci par avance de votre générosité !
- Eglises et clochers de la paroisse Notre Dame de Haute Marche
- Eglises et clochers de la paroisse St Marien en Combrailles
- Eglises et clochers de la paroisse Ste Croix des deux Creuse
- Visites d'églises
- Pèlerinages locaux
- Saints patrons et fêtes patronales
- Patrimoine religieux sur la paroisse St Pardoux en Marche (Guéret...)
- Eglises et clochers de la paroisse St Jean en Limousin (Bourganeuf...)
- Eglises et clochers de la paroisse St Benoît sur Sioulet Volcans (Pontgibaud, Pontaumur, Giat...)
- Eglises et clochers de la paroisse Ste Marie en Combrailles (St Eloy les Mines, Pionsat...)
- Numéro hors-série de la Revue des deux Mondes sur "La tragédie des églises" : sur les 35 000 églises et chapelles non subventionnées, 5 000 sont en état de souffrance, et les collectivités locales qui en ont la responsabilité n’ont souvent pas les moyens de les entretenir. Ce hors-série est une invitation à redécouvrir, aimer et aider ce patrimoine en danger.
- "Retables et tabernacles des XVII° et XVIII° siècles dans les églises de la Creuse", par Simone de Montessus de Ballore Lecointre. Nouvelles Editions Latines, Paris, 1988.
- "Histoire de la Marche et du Pays de Combraille" par M. Joullietton, publié en 1814 par l'imprimerie-librairie Bétoulle à Guéret, et réédité en 2002 par la librairie L'Hirondelle Blanche à Aubusson.
- "Dictionnaire Topographique, Archéologique et Historique de la Creuse" d'André Lecler ; publié à Limoges en 1902 - Réimprimé par Laffite Reprints, Marseille, 1994. Des notices par commune sont consultables sur le site https://www.cghml.com/
- "Nouveau Dictionnaire Historique, Géographique et Statistique illustré de la Creuse" par P. Valadeau, publié en 1892 ; réédité par les Editions de la Tour G.I.L.E. en 1989. Des notices par commune sont consultables sur le site https://www.cghml.com/